aussi
improvisateurs
Tous les chef.fes de projet sont issus d’un parcours académique et professionnel au coeur des secteurs traditionnels (informatique, industrie, tertiaire, collectivités) à des postes à responsabilités (management, commerce, marketing, ressources humaines, communication).
Beaucoup de nos intervenants comédiens ont également ce double cursus théâtre/entreprise.
Nous sommes comédien.nes improvisateurs professionnels. Nous aimons jouer sur scène, avec la Belle Boite, ou avec d’autres compagnies de spectacle. Nous écrivons, nous jouons la comédie, nous chantons, nous mettons en scène.
Nous avons des rêves et de l’ambition pour le monde dans lequel nous vivons. Réussir la transition écologique, construire une société plus juste, plus inclusive, rapprocher les individus en ouvrant des espaces de dialogues. Notre métier et la façon dont nous le faisons en sont largement imprégnés.
la Belle Boite concrétise une envie d’être utile en s’amusant.
Convaincu que l’utilisation du théâtre, le chant ou la vidéo, éclaire de façon durable le questionnement des comportements humains en entreprise, nous expérimentons des formats, des méthodes.
Dans la décennie qui suit, notre curiosité, notre envie d’approfondissement, notre créativité, mêlée à l’indispensable confiance de nos clients, nous ont offert l’opportunité d’explorer des périmètres toujours plus pointus dans le domaine de l’animation, de la formation, du conseil, de la production audiovisuelle.
Nous sommes hybrides, polymorphes, mais au final très cohérents : et si une légèreté lucide, exigeante et bienveillante n’était pas notre meilleur atout pour surmonter la complexité ?
C’est notre camp de base, le coeur de notre éco-système. Les équipes permanentes de chefferie de projet y sont basées ainsi qu’une grande partie de nos intervenants.
Nous développons en parallèle un réseau d’intervenants improvisateur•rices partout en France. Ceci afin de vous proposer des solutions les plus locales possibles.
Le terme est emprunté à l’allemand Nudel, « pâte alimentaire », lui-même d’origine incertaine (peut-être du latin nodus).
Une légende suppose que, de retour de son voyage en Chine en 1295, Marco Polo en rapporta à Venise et leur donna une nouvelle notoriété. Cette histoire aurait été créée dans les années 1920 par un fabricant américain de pâtes.
Le terme français s’est écrit noudle ou nudeln, puis nouilles. Marignan n’y est pour rien. Aucun lien.
Des scientifiques de l’Académie des sciences de Pékin ont découvert sur les rives du fleuve Jaune, sur le site archéologique de Lajia dans la province de Qinghai, dans le nord-ouest de la Chine actuelle, les plus anciennes nouilles du monde, vieilles de 4 000 ans.
On trouve des traces de pâtes sèches confectionnées à partir de semoule de blé dur vers 800. Elles ont été introduites par les conquérants musulmans de la Sicile, et au XIIe siècle, les républiques maritimes de Gênes et de Pise commercialisent des pâtes sèches
1er siècle : un texte d’Apicius (De re coquinaria) décrit un mets qui ressemble à s’y méprendre aux lasagnes.